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Французский язык 10 класс Клименко профиль (стр. 2 из 6)

2. Elle a entendu quelqu’un. Quelqu’un respirait dans l’obscurité.

3. Le conférencier a senti la mouche. La mouche s’est posée sur son front.

4. Je l’ai vue. Elle a changé une roue en moins de trois minutes.

5.

Les voyageurs ont écouté une cloche. La cloche tintait dans le lointain.

6. On a senti l’eau chaude. L’eau chaude coulait.

La vie culturelle

12. Lisez le texte et donnez votre opinion.

Les intellectuels

Dès le XVIe siècle, on a donné, en France, une importance et un prestige particuliers à la culture et aux « belles lettres ». Le modèle de « l’honnête homme » de Montaigne ne fait pas référence à des qualités de rigueur morale, il évoque l’élégance, le raffi nement de l’esprit et une culture essentiellement littéraire. « L’honnête homme » est un homme « bien élevé » ; il a une bonne formation et une bonne éducation (de bonnes manières, du savoir-vivre). Les jésuites – qui depuis trois siècles ont formé la majorité des élites ont forte-

ment infl uencé tout le système éducatif français – ont cherché à appliquer les principes chers à « l’honnête homme » : former « des têtes bien faites plutôt que des têtes bien pleines », développer l’esprit critique, enseigner un savoir abstrait et universaliste, imposer la lecture des Anciens et des Modernes, insister sur la culture générale, développer l’esprit de compétition... et savoir manier la parole.

La Révolution de 1789 et la démocratisation de la société au XXe siècle n’ont pas remis en question ces principes éducatifs. Non seulement on a continué à valoriser la formation générale plutôt que la formation à un métier, à une compétence manuelle, mais on a assimilé les connaissances techniques à du savoir-faire manuel. Il y a toujours en France une sorte d’opposition entre « La culture » (la « vraie » culture) et la « culture technique », y compris celle des ingénieurs ou même celle des scientifi ques qui travaillent sur autre chose que la théorie pure. Ceci explique pourquoi les élèves et les étudiants s’engagent dans des fi lières d’enseignement technique uniquement lorsqu’ils ne sont pas assez brillants pour être admis dans des fi lières d’enseignement général.

Devoir

13. Terminez chacune de ces phrases à l’aide d’une proposition infi nitive.

1. Des enfants ont vu ... .

2. Les campeurs entendaient ... .

3. Le chien regardait ... .

4. Le docteur a senti ... .

5. Le pilote écoutait ... .

14. Lisez le texte et relevez les propositions infi nitives avec les verbes de récep-tion.

Quand il fait beau, hors de la maison, je m’assois à une bonne place au soleil. Je connais les saisons tout comme dans le temps où je voyais verdir les avoines, mûrir les froments, jaunir les feuilles du châtaignier, et rougir les prunes sur les buissons. J’ai des yeux dans les oreilles ; j’en ai sur les mains, j’en ai sous les pieds. Je passe des heures entières à écouter près des ruches les mouches à miel qui commencent à bourdonner soûla paille, et qui sortent une à une, en s’éveillant, par leur porte, pour savoir si le vent est doux et si le trèfl e commence à fl eurir. J’entends les lézards glisser dans les pierres sèches, je connais le vol de toutes les mouches et de tous les papillons dans l’air autour de moi. Oh ! Jamais je ne m’ennuie.

Lamartine, Le Tailleur de pierres de Saint-Point.

15. Écrivez une composition. Pensez-vous que les vêtements jouent un rôle im-portant dans votre vie quotidienne et dans les relations avec les autres ?


Les relations dans la famille

1. Écoutez le dialogue et faites les devoirs qui le suivent.

Aline : Dis, Elise, il reste des biscuits ?

Elise : Non, tu as tout mangé hier. Arrête un peu, Aline, tu manges tout le temps en dehors des repas. Tu veux être comme ta cousine Nadia ?

Aline : Qu’est-ce qu’elle a Nadia ?

Elise : Elle se plaint toujours qu’elle est trop grosse... De toute façon, manger trop de sucreries ce n’est pas bon pour la santé.

Aline : Oh ! Tu m’ennuies avec tes conseils de grande sœur parfaite. Je sais ce que je fais !

Elise : Oui, je t’ennuie... mais c’est vrai, c’est mieux de manger des fruits. Moi, j’en mange tous les jours, c’est plein de vitamines, regarde ma peau.

A. Choisissez la bonne réponse.

1. Aline et Elise sont :

a) c deux amies. b) c deux sœurs.

2. Aline mange trop de :

c) c mère et fi lle.

a) c vitamines. b) c gâteaux.

3. Elise mange des fruits tous les jours :

c) c fruits.

a) c Vrai b) c Faux

4. Selon Elise manger des fruits donne :

c) c On ne sait pas.

a) c de la force. b) c la forme.

c) c une jolie peau.

2. Répondez aux questions et discutez-les en groupes.

1. Avez-vous de pareilles discussions dans votre famille avec vos parents (votre frère, votre sœur) ?

2. Est-ce que ce sont les discussions sérieuses ou bien on les oublie vite ?

3. Qu’est-ce qu’une famille pour vous ? Ce ne sont que les liens de sang ou bien les liens affectifs, l’ensemble des personnes liées entre elles (par la fi liation ou le mariage ...) ?

3. Lisez attentivement le document. Vous allez présenter ce document à vos amis, puis discuter avec eux de son contenu.

Pour préparer cette présentation, aidez-vous du questionnaire suivant :

– De quel genre de document s’agit-il (lettre, article, publicité, etc.) ?

À quoi le voyez-vous ?

– Pourquoi a-t-il été écrit ? À quel public est-il destiné ?

– Quel est son sujet principal ? Quel est le problème qu’il pose ? Quelles informations ou quelles idées vous paraissent particulièrement importantes ?

– Comment réagissez-vous par rapport à ce document ? Qu’en pensez-vous ?

Éveiller l’esprit critique de ses enfants

« Nous avons toujours encouragé nos fi lles à exprimer librement leur opinion, même différente de la nôtre, et ce dès leur plus jeune âge. À condition qu’elles argumentent, qu’elles s’écoutent les unes et les autres et qu’elles ne se jugent pas, déclare Xavier, 45 ans, père de famille nombreuse. Il n’y a pas de sujet que nous leur interdisons d’aborder. Elles peuvent contester l’attitude d’un professeur, ou bien ne pas être d’accord avec une décision d’achat ou avec quelque chose que nous faisons dans notre travail, à condition qu’elles expliquent pourquoi et qu’elles acceptent d’entendre les autres points de vue. L’essentiel est que les discussions ne se limitent pas à une confrontation stérile entre « vrai » et « faux ». Nous souhaitons que chacune de nos quatre fi lles apprennent à développer une réfl exion autonome. »

Donner à son enfant les moyens de réfl échir par lui-même : l’éveil de l’esprit critique est l’un des signes les plus importants d’une éducation réussie. Car c’est ce sens critique qui permet à l’enfant, puis à l’adolescent, de faire des choix qui lui appartiennent vraiment, et d’avoir plus tard la volonté de suivre son propre chemin. Autrement dit, de ne pas passer sa vie « sous infl uence » !

Construire des repères solides

« Les enfants ont besoin de faire confi ance à la parole des adultes, à commencer par leurs parents, et de considérer que ce qu’on leur dit est s ûrement vrai, analyse le docteur Francis Curtet. Cependant, il est très important de leur faire comprendre très tôt qu’il y a des lieux où l’on ne dit pas forcément la vérité, par exemple à la télévision et dans la publicité. Et que certaines personnes peuvent cacher, volontairement ou non, une partie de la réalité. »

À la base, il y a des choses qui ne se discutent pas : « Sur les questions de l’alcool, de la drogue ou de la cigarette, nous avons posé clairement nos interdits. C’est comme ça et pas autrement. Nous avons expliqué à nos fi lles le pourquoi de ces règles, mais il n’est pas question qu’elles y dérogent » insiste Xavier.

Ce cadre fort pose les lois intangibles, car elles protègent la vie de l’enfant. Pour le reste, en revanche, le jeune doit se sentir libre d’examiner n’importe quelle idée. Solliciter son opinion, même s’il est encore petit, et lui demander de l’argumenter l’aide à prendre confi ance en ses propres facultés de jugement.

Marielle Morjean, Dossier Familial, janvier 2005

4. Trouvez dans le texte les propositions qui expliquent les idées suivantes :

– il ne faut pas croire à tout ce qu’on dit ; – cela éduque la tolérance ; – une réfl exion autonome.

5. Répondez aux questions et argumentez votre réponse.

1. Pourquoi, à votre avis, les questions de la drogue, de l’alcool, de la cigarette ne se disputent pas dans cette famille ?

2. D’après vous, quelles idées soulevées dans ce texte protègent la vie de l’enfant ?

3. Êtes-vous d’accord avec cette argumentation que la télévision et la publicité sont des lieux où l’on ne dit pas forcément la vérité ?

4. Comment cela se passe dans votre famille ? Pouvez-vous librement, sans peur, dire ce que vous pensez ?

5. Appréciez-vous ou non cette méthode d’éducation des enfants dans la famille ? À votre avis, à quoi ça sert ?

6. Trouvez dans le texte des mots et des expressions qui sont liés à la liberté de la parole.

7. Trouvez 15 substantifs qui sont cachés horizontalement ou verticalement dans cette grille. Ils appartiennent tous au monde de la famille.

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8. Répondez à la question Comment appelle-t-on un homme ... ?